Les raisons de croire au Christ sont nombreuses et variées
Les raisons de croire au Christ sont très nombreuses, extrêmement variées et de nature très différente. Au total, rien ne peut être comparé à ce faisceau d’éléments convergents qui conduit à la certitude de la vérité de la foi chrétienne.
Le christianisme demande de croire en des choses un peu folles : un homme est le Fils unique de Dieu, il a vécu 33 ans, il est mort et ressuscité et il nous a acquis une éternité de bonheur où il n’y aura plus souffrance ni larmes. Tout cela paraît de prime abord très difficile à croire, alors pourquoi y croire ? La vraie raison est que quand on étudie en profondeur le monde réel à partir de toute une série d’éléments factuels, historiques et incontestables, il est 1000 fois plus difficile de croire que cette histoire n’est pas vraie.
QUELLES SONT LES DIFFÉRENTES RAISONS DE CROIRE ?
Le projet 1000 raisons de croire (newsletters, sites Internet, vidéos, émissions, débats, etc.) a pour objectif de détailler de nombreuses raisons de croire. Il y a la personne de Jésus ; les prophéties qui l’ont annoncé ; le témoignage des apôtres ; l’expansion miraculeuse du christianisme ; l’existence de milliers de saints ; 2 400 apparitions ou interventions de la Vierge Marie documentées dans l’histoire ; des sanctuaires extraordinaires, comme Lourdes où ont été déposés 7 500 dossiers médicaux pour des guérisons inexpliquées ; des multitudes de témoignages de rencontres avec le Christ, provenant des quatre coins du monde ; des conversions étonnantes de juifs, de musulmans, d’agnostiques ou d’athées ; la permanence et la fécondité de l’Église et la stabilité de son Magistère ; la fiabilité des Évangiles ; des multitudes de miracles comme le Linceul de Turin, l’épopée incroyable de Jeanne d’Arc, les expériences de mort imminente (EMI) qui font rencontrer le Christ et son amour ; tous les miracles eucharistiques ; plus de 250 corps conservés ; plus de 250 stigmatisés ; les lacrymations de statues et d’icônes ; les visions ; les inédies ; les voies de la vie mystique si bien décrites par Thérèse d’Avila ou Jean de la Croix ; et quantité d’histoires providentielles extraordinaires liées aux signes que Dieu nous donne tout au long de nos vies.
Le Catéchisme de l’Église catholique résume tout cela en affirmant : « Pour que l’hommage de notre foi fût conforme à la raison, Dieu a voulu que les secours intérieurs du Saint-Esprit soient accompagnés des preuves extérieures de sa Révélation. C’est ainsi que les miracles du Christ et des saints (cf. Mc 16,20 ; He 2,4), les prophéties, la propagation et la sainteté de l’Église, sa fécondité et sa stabilité sont des signes certains de la Révélation, adaptés à l’intelligence de tous » (CEC n° 156).
La convergence de ces 1 000 raisons de croire crée un ensemble absolument unique, qui n’existe que dans le christianisme. Grâce aux moyens multimédias modernes qui permettent de collecter l’information, il est possible d’affirmer qu’il n’y a jamais eu autant de raisons de croire en la beauté, la vérité et la profondeur de la foi chrétienne.
La vérité du christianisme est une Bonne Nouvelle pour l’éternité ! Car les promesses du Christ sont magnifiques et elles s’adressent à tous : Dieu existe ; il nous aime ; il « séchera toutes larmes » (Ap 7,17), « de mort et de souffrances il n’y en aura plus » (Ap 21,4) et, à la fin, le bien sera vainqueur. Dieu nous comblera dans la vie bienheureuse « au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer ou concevoir » (2 Co 4,17 ; Ép 1,18 ; 3,20 ; Ph 4,7).
Mais le christianisme est aussi un chemin de bonheur dès ici-bas. Le monde propose toute une série de fausses pistes liées à l’argent, au pouvoir, à la luxure, aux distractions, au bien-être, aux plaisirs et aux paradis artificiels, mais toutes ces voies se révèlent vite être des impasses et des leurres éphémères qui déçoivent, laissent un grand vide et ne comblent pas le coeur de l’homme. Nous sommes en profondeur faits pour aimer et être aimés. La foi n’épargne pas la Croix, mais dans la prière et la providence peut se vivre l’expérience de Dieu qui se fait proche de ceux qui se tournent vers lui, dans les épreuves tout spécialement. « Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés » (Mt 5,4).
EN CONCLUSION, QUELS PEUVENT ÊTRE LES MOTIFS DE REFUSER LE CHRISTIANISME ?
Parce que c’est faux ? Non ! Parce que c’est triste ? Non ! Parce que c’est contraignant ? Non ! Car même s’il suppose des renoncements, le christianisme est à la fois beau, parfaitement vrai et profondément fait pour l’homme : il n’y a donc aucune raison raisonnable de le refuser… Mais pour s’en convaincre, il faut faire l’effort de « chercher » (Mt 7,7). C’est ce que nous vous proposons au fil des pages de ce magazine et dans l'ensemble du projet.
Olivier Bonnassies
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